Les zones bocagères, les bandes enherbées et les surfaces en herbes sont en fort recul depuis les remembrements des années 60. De plus, l’agriculture biologique se développe peu sur les 3 aires d’alimentation de captage ainsi que les surfaces herbagères à vocation fourragères à destination de l’élevage.

Parallèlement, le renouvellement des générations devient un enjeu majeur, en effet plus de la moitié des agriculteurs ont plus de 50 ans, ce qui signifie une problématique imminente de départs en retraite et de reprise des exploitations.

L’ensemble de ces paramètres est à prendre en compte pour maintenir et/ou développer des surfaces agricoles en faveur de la préservation de la qualité de l’eau.

Il parait donc important de prendre en compte ces constats pour mieux maitriser l’usage des sols afin de développer des surfaces en herbes sans intrants (prairies, jachères, …), des surfaces boisées (haies, bosquets, …). De plus, au vu de ce renouvellement des générations, il semble important de réorganiser le foncier, selon les opportunités afin de le rendre plus attractif pour des porteurs de projets en agriculture biologique ou en élevage.